Daho, le spectacle de tous les superlatifs !

Etienne Daho, le roi de la pop frenchie, a entamé depuis novembre dernier (première date le 4 Novembre au Zénith de Caen), une tournée d’envergure des grandes salles de l’Hexagone qu’il avoue avoir un peu délaissées ces dernières années, pour des scènes plus intimistes. Mais cette fois, il a eu « envie de sortir de sa zone de confort et d’embarquer son public ailleurs, pour lui offrir un show avec une énergie différente, celle des grands espaces et des festivals d’été ! »

Jeudi 14 Décembre dernier, nous avons pu assister au Dahoshow au Zénith de Rouen, qui reprendra plusieurs morceaux de son nouvel album, le douzième de sa carrière, Tirer la nuit sur les étoiles.

L’éternel dandy, auteur-compositeur-interprète, apparaît très élégant, dans sa veste noire à sequins, flanqué de ses huit musiciens, qu’il présente dès le début – Jean-Louis Piérot, claviers et guitare, François Poggio, guitare, Colin Russeil, batterie, Marcello Giuliani, basse, ainsi qu’un quatuor à cordes. Pendant près de deux heures de show, Etienne Daho enchaîne ses tubes de toujours comme Le grand sommeil, Des heures hindoues, Saudada, Duel au soleil, Tombé pour la France, Bleu comme toi, Le premier jour du reste de ta vie, Week-end à Rome, Epaule tattoo, réorchestrés pour certains titres dans des versions beaucoup plus entraînantes, façon clubbing. Il y aura également des morceaux moins connus et des hommages à Gainsbourg, Jane Birkin, Jeanne Moreau ou Edith Piaf.

Ce concert aux allures incontestables de best-of, retrace les quarante ans de carrière de l’artiste, éternel jeune homme. Mais ce qui marque également les esprits, c’est une rétrospective musicale large appuyée par une scénographie tourbillonnante et très visuelle, une explosion colorée de graphes géométriques, comme si Daho et ses musiciens étaient partie prenante d’une boîte à musique magique et hypnotique.

Deux heures de show spectaculaire et pétulant, où le temps suspendu a emporté un public ravi de la générosité du chanteur, habituellement réservé, qui n’a pourtant pas tari en anecdotes tout au long de la soirée…

Et à la fin du concert, il était temps de se « tirer » dans la nuit, mais les étoiles encore dans les yeux…

Etienne Daho, le roi de la pop frenchie, a entamé depuis novembre dernier (première date le 4 Novembre au Zénith de Caen), une tournée d’envergure des grandes salles de l’Hexagone qu’il avoue avoir un peu délaissées ces dernières années, pour des scènes plus intimistes. Mais cette fois, il a eu « envie de sortir de sa zone de confort et d’embarquer son public ailleurs, pour lui offrir un show avec une énergie différente, celle des grands espaces et des festivals d’été ! »

Jeudi 14 Décembre dernier, nous avons pu assister au Dahoshow au Zénith de Rouen, qui reprendra plusieurs morceaux de son nouvel album, le douzième de sa carrière, Tirer la nuit sur les étoiles.

L’éternel dandy, auteur-compositeur-interprète, apparaît très élégant, dans sa veste noire à sequins, flanqué de ses huit musiciens, qu’il présente dès le début – Jean-Louis Piérot, claviers et guitare, François Poggio, guitare, Colin Russeil, batterie, Marcello Giuliani, basse, ainsi qu’un quatuor à cordes. Pendant près de deux heures de show, Etienne Daho enchaîne ses tubes de toujours comme Le grand sommeil, Des heures hindoues, Saudada, Duel au soleil, Tombé pour la France, Bleu comme toi, Le premier jour du reste de ta vie, Week-end à Rome, Epaule tattoo, réorchestrés pour certains titres dans des versions beaucoup plus entraînantes, façon clubbing. Il y aura également des morceaux moins connus et des hommages à Gainsbourg, Jane Birkin, Jeanne Moreau ou Edith Piaf.

Ce concert aux allures incontestables de best-of, retrace les quarante ans de carrière de l’artiste, éternel jeune homme. Mais ce qui marque également les esprits, c’est une rétrospective musicale large appuyée par une scénographie tourbillonnante et très visuelle, une explosion colorée de graphes géométriques, comme si Daho et ses musiciens étaient partie prenante d’une boîte à musique magique et hypnotique.

Deux heures de show spectaculaire et pétulant, où le temps suspendu a emporté un public ravi de la générosité du chanteur, habituellement réservé, qui n’a pourtant pas tari en anecdotes tout au long de la soirée…

Et à la fin du concert, il était temps de se « tirer » dans la nuit, mais les étoiles encore dans les yeux…

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