Au cœur du brasier Armanet !

C’est avec joie et enthousiasme que Juliette Armanet a retrouvé, ce vendredi 25 février 2022, son public sur la scène du 106 à Rouen pour le lancement de sa tournée tant attendue Brûler le feu ! Le voile de fumée s’est levé pour laisser la diva nous embraser le temps du concert.

Photo : Emelka

Il lui a suffit d’une étincelle pour réanimer son public, plus que jamais, en feu. C’est dans une atmosphère solaire que la chanteuse a réchauffé les cœurs de ses spectateurs avec plusieurs titres de son dernier album. Un temps pour que chacun reprenne ses marques après tant d’attente et avec une émotion manifeste que l’interprète s’est autorisée à partager avec son public. La fusion a opéré, en interprétant L’Indien, Juliette a attisé un peu plus son auditoire exalté.

C’est ensuite avec quatre titres, dont trois de ses débuts que la compositrice nous a laissé.e.s littéralement fondre sur ses accords de braise et ses textes bouleversants. L’artiste a d’ailleurs pu exprimer à cette occasion, toute la reconnaissance qu’elle voue à son titre L’Amour en Solitaire, auquel elle doit tant ! Et puis l’étoile s’est éclipsée nous laissant en compagnie de ses très talentueux musiciens, son nouveau « boys band » avec lequel elle estime avoir beaucoup de chance de travailler. C’est dans une ambiance survoltée que nous l’avons retrouvée incandescente dans son costume disco, telle une boule à facettes ardente. La vedette nous a offert un show endiablé faisant preuve d’une énergie débordante qui lui va si bien.

photo : Emelka

Un moment frénétique qui a enflammé le public. L’auteure est alors allée à la rencontre de ce dernier avec une complicité désarmante. Un petit quart d’heure fascinant s’apparentant à une communion autour des méandres de l’amour. Un instant intimiste inoubliable où la voix langoureuse de la chanteuse résonnait au plus près de nous, sous l’emprise de son charme. Juliette, la pyro-mélomane, nous a fait revenir à la réalité en lâchant la dynamite, des chansons de folie nous consumant, dansant sur des rythmes effrénés. Pour ne rien gâcher, ses doigts crépitaient avec toujours autant de virtuosité sur le clavier de son piano. Après quelques titres d’au-revoir, il a pourtant fallu quitter l’artiste tellement touchante et attachante qu’on la suivrait volontiers jusqu’en enfer !

Realeyes

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